lectures
dans les romans sur le transfert amoureux ,les deux femmes vivent celui ci comme une souffrance ,limite de l'aliénation
une forme de régression infantile
je vis le mien comme un carburant qui alimente mon imaginaire et le fait voyager dans des régions ou l'humanisme est roi
aimer cette femme est une impossibilité
aimer ses lèvres ,sa bouche c'est aimer ce qu'elle dit , et ainsi aller vers ce qu'elle pense me conviendrait
elle est belle
elle n'est pas responsable de cela
même si son aspect "fashion victim" me plaît ;il me connecte avec l'anima , le féminin exprimé
son féminin touche mon "anima"?mon animus?
sa puissance existante ou supposée en tout cas projetée , impacte mon animus ou plutôt tout ce qui lui manque
je continuerais de l'aimer après la fin de la thérapie
de vouloir la voir "pour elle" non pour son travail
elle restera mon phare jusqu'à la fin
même si j'arrive à naviguer seul