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lettres à ma psy
11 mai 2013

force,

quand on a abordé le thème de la sexualité,elle m'a répondu "on peut vivre sans";surement vrai car je vis sans mais bien? autre question..;

jusqu'à tard je me suis réveillé la  nuit dans la chambre de mes parents et venais me réfugier près du corps chaud de ma mère revêtu d'une de ses éternelles chemise de nuit en nylon soyeuse et douce;mon père râlait mais laissait faire insensible à cette quête nocturne d'amour

j ai toujours recherché cette même bienveillance dans les yeux des femmes de rencontre et cela devait être tellement évident que la relation n'etait satisfaisante ni pour moi qui ne retrouvait pas cet amour ni pour elle qui ne se sentait pas aimée pour elle

la seule fois ou je retrouve ce regard initial c'est le sien vide de jugement caressant mon ego semblant flatter ma vanité avec compassion ; donc je l'aime?

non pas comme cela pas dans la trivialité d'un vaudeville à deux mais dans le confort d'une relation supérieure aux autres consentie et sereine ;je me sens aimé pas désiré , compris pas ignoré..elle me laisse aller vers elle sans ambiguïté mais sans innocence car elle l'a choisi

je ne la quitterais jamais meme quand elle me quittera..

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